Les groupes cibles:

1000 femmes et mineurs privés de liberté : groupes vulnérables détenus non encore jugés.

500 prévenus ayant exprimés le besoin d’être accompagnés.

100 organisations de droits de l’homme (OSC) engagées dans la protection et la défense des droits civils et politiques.

140 acteurs de la chaine pénale (responsables des prisons, des commissariats, des brigades de gendarmerie, magistrats, greffiers, avocats) qui manifestent un intérêt particulier pour les droits de l’homme.

30 décideurs publics et politiques concernés par la justice pénale.

30 journalistes : presse écrite, audio, visuelle, cybernétique pour le rôle qu’ils peuvent jouer dans la vulgarisation des droits de l’homme et l’amplification des dénonciations.

05 organes de traité et mécanismes de protection pour le suivi des engagements du Cameroun

Les bénéficiaires finaux: 10 millions de camerounais sur le territoire national, 5000 gardés à vue.