La campagne « 10 jours pour l’Afrique » qui a débuté le 25 mai 2016 et s’est achevée le 03 Juin de la même année, a fait montre d’une vaste couverture médiatique. Cette couverture qui avait pour objectif, d’assurer la visibilité des différentes activités menées au cours de cette période, a vu la mobilisation d’une quarantaine de journalistes venus de divers médias dont, la presse écrite, la télé, la radio, ainsi que les réseaux sociaux.
La densité des activités pendant les 10 Jours n’a pas découragé les hommes des médias. En effet, ces derniers ont répondu présent aux différents évènements.
Lors de la marche sportive du 25 Mai (Journée de l’Afrique) qui a marqué le début de la Campagne, il a été noté la présence de plusieurs médias dont : Canal 2 international, Equinoxe Tv, Vision 4, Canal 24, STV, Ariane TV, Golden House, en ce qui concerne les médias télé. Pour ce qui est de la presse écrite, il a été observé la participation de La Nouvelle Expression, Mutations, le Quotidien de l’Economie, Sans Détour, Le Messager pour ne citer que ceux-ci. En ce qui concerne la radio, Kalak FM, CRTV Centre, FM 94, Magic FM, Radio Timegnie Siantou, Radio Campus, Radio Afrik2 étaient de la partie. A la suite de la marche, ces médias ont pris part à la Conférence qui leur a permis de comprendre le concept « 10 Jours pour l’Afrique » et le projet SOTU en général. Par la suite, NDH a été invité à plusieurs débats, émissions afin de communiquer sur l’évènement et ses enjeux pour le Cameroun. Le 03 Juin, journée de clôture des « 10 Jours pour l’Afrique », de nombreux journalistes sont venus couvrir la foire-exposition, ainsi que la conférence débat sur le panafricanisme.
A la vérité, les médias ont brillé par leur engagement et leur volonté et n’ont ménagé aucun effort pour relayer l’information minute par minute et en temps réel, de sorte que, toutes les activités des « 10 jours pour l’Afrique », soient connues du grand publique. Ceci témoigne d’un intérêt manifeste des journalistes camerounais pour les instruments de l’Union Africaine et sa mise en œuvre au Cameroun.
Alexis KAMENI NJOUONHOU et Gabriel Cyrille NGUIJOL
